Sale temps
Sale temps pour la vie, un peu partout et pas qu'à Nice. Une fois de plus, ce genre de drame provoque du bon et du pire. Dans le pire, rangeons les réactions démagogiques de la droite yaka-ifotiste et la pommade du Dr Hollande (son slogan « Endort, mais ne guérit pas ») nous remettant une couche d'état d'urgence juste bonne à nuire aux libertés publiques.
Et ce commentaire ignoble, trouvé sur un forum de Libé :
« Le tout sécuritaire consisterait – enfin ! – à élaborer la prévention sécuritaire, à savoir, deux formules :
La première, formule douce, pour y enfermer les radicalisés les plus durs, avec construction de pénitenciers de type Supermax américains (privation de liberté physique, sensorielle, mobilier scellé, pas de lumière naturelle). Clientèle radicalisée, dont pour rappel, le régime actuel dans nos prisons permet l'accès à la télé, salle de sport, prières, et de continuer à influencer depuis l'intérieur (!!!) des réseaux prosélytes situés à l'extérieur).
Pour la seconde formule, davantage pertinente, pour cette même clientèle incarcérée ou / et coupable d'attentats, de tentative d'attentats, de faits grave de banditisme liés – on le sait – aux réseaux terroristes, cela exigera(ait) le rétablissement – avec impatience ! – de la peine capitale, uniquement pour juger ce genre de faits. Ceci avec extraction de cellule, comparution à charge de chacun de ces paroissiens devant des juridictions de type "Sections spéciales", avec le rasoir en ligne de mire, avec la peine liquidée une heure après le verdict. Cette option aurait l'avantage d'écrêter – dans tous les sens du terme – toute une faune qui professe par la violence des valeurs différentes des nôtres.
Dans l'attente comme le disaient certains hommes politiques ce matin sur les médias, il faudra bien dans les cités "à problème", commencer une campagne de dératisation : investigations des cités par l'armée, fouilles de caves, des appartements avec arrestation de tous ceux qui s'opposent à la la méthode (coupables, délinquants et radicalisés "logés", mais aussi sympathisants démago libertaires).
Il faudra bien en passer par là. »
Bien sûr, comme il n'y a aucun « gros mot », les bourrins de la modo ont laissé passer le tas de merde chicos. Pour se préserver de cette boue, je ne connais qu'un remède, déjà utilisé après le 11 septembre qu'on sait : la musique. Et pas n'importe laquelle : celle de Bach. Et pas n'importe quoi :
https://www.youtube.com/watch?v=LMe_sLzppcI