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Al Ceste un jour sur trois (ou quatre) !
24 octobre 2016

SuperDan, le justicier pas masqué !

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Copie (revue et augmentée) de mon dernier commentaire sur Arrêt sur images. Il est resté un bon jour, SuperDan est passé commenter... et l'a couiqué ! Grand démocrate, le monsieur !

Bien. Je suis toujours et encore harcelé par le nommé Lemar, grand auto-entrepreneur de la Justice devant l’Éternel, alors que cela fait des jours et des jours que j'ai cessé de lui répondre. Et la modération le laisse faire, se bornant à supprimer un ou deux commentaires pas plus (il en avait fait un caca nerveux)... alors qu'elle m'avait banni pour une semaine (et pour un qualificatif désignant ce qui adore les zones dites érogènes et ne recule que devant la marie-rose) m'invitant sur un ton condescendant à revenir « sur nos forums, après ce temps de réflexion, avec un discours plus serein et plus apaisé » ! Rien que ça ! Les asinautes avaient pu juger du ton serein et apaisé du harceleur, plutôt serin et à(me)baiser. J'avais dû réclamer et expliquer pour que ce bannissement soit levé dans la journée. Moi qui croyais que la modération têteduclientiste était une exclu de MédiaPlenel, quelle désillusion !

N'obtenant rien des saints d'ASI pour que cela cesse, j'ai écrit à Dieu. Qui ne m'a pas répondu (l'a-t-il fait un jour ?*). Après une recherche gougueule, j'avais réussi à trouver le numéro de téléphone d'ASI pour un tête-à-tête avec le webmestre... qui m'avait bien baladé. Impossible de le retrouver, ne serait-ce que parce qu'il ne figure ni sur la page Contacts ni dans les Mentions légales, et qu'il n'existe pas dans les Pages Blanches. ASI est vraiment un média à part, hein : tous les autres donnent au moins un numéro.

(Bon, j'ai fini par avoir une réponse, juste pour dire que je traumatisais des asinautes avec mon lien, les pauvres alertaient, je devais donc cesser de mettre mes liens. Actuellement, c'est deux par semaines, sauf lien en rapport direct avec l'article comme ASI le fait et avec raison. Souffrance intolérable, hein ! Le Bataclan et Nice, à côté, c'est Disneyland ! Appelez le SAMU et le GIGN !)

Je suis venu ici d'abord pour lire et commenter. Commenter en rapport avec les articles. Et le simple ajout de la mention d'un blogue (que nul n'est obligé de venir lire, dont la vue du nom en bas de commentaires ne peut tuer personne) n'obéit qu'à deux choses : 1/ un désir légitime d’être lu, sans rien de la mégalomanie que me prête ce harceleur plus doué pour le fantasme que pour l’honnêteté, 2/ l'utilisation d'une fonction apte à faire circuler plus et plus rapidement toute information, bah oui c'est aussi ça, Internet. Être gêné par cette simple vue ? Que devrais-je alors dire (et pas que moi) quand on doit se farcir d'interminables et minables échanges de horions entre A et B, surtout quand C et D s'en mêlent et nous emmêlent (j'avais un autre mot sur le clavier mais... pas envie de me faire couiquer).

Si ASI et ses abonnés ne savent pas ce qu'est le surf sur internet, la rapidité de circulation des échanges, la variété des sources, c'est bien dommage. ASI est le seul site où j'ai ce problème (et qui m'envoie le moins de visiteurs) : faut-il en conclure que c'est un cénacle, un club voué à l'entre-soi, où qu'il n'est fréquenté que par quatre pelés et un tondu ? Serait-il le seul autorisé à dire le bien et le mal ? Les journalistes seraient-ils par essence supérieurs aux simples lecteurs ? Lui fais-je concurrence ? Lui volé-je des clients comme si Lepaclerc venait placer un véhicule publicitaire sur le parking de Mauchan ?

Je n'admets donc qu'un seul tort, et offre mes regrets aux discrets : avoir répondu aux harceleurs, être tombé dans leur piège, il aurait fallu ignorer ça dès le début. Non, un deuxième : avoir cru aux conseils de la modération, et surtout qu'elle serait équitable.

Je reste abonné, mais plus de commentaires. Pour vivre heureux vivons caché (...).

* Soyons complotiste : Schneidermann n'a rien fait car il me hait. Pourquoi ? Oh, c'est une histoire ancienne. Quand il pontifiait au Monde, je lui envoyais des mels comme à x journalistes. Quelques-uns au Monde répondaient comme Amalric, Johannès, Kechichian. Ceux de Libé répondaient souvent (ex : Chalandon, Simonnot, Aubenas, Marcelle, Lançon, Dahan, Dufresne, etc.). Avec certains, les relations ont continué même après leur départ. Rien de perso ni de quémandeur, non, juste ce qui est maintenant du commentaire. Sa Hauteur ne répondait jamais, et au bout d'une bonne vingtaine de mels sans retour comme la rivière de même (voir mon article sur Marylin), je me suis mis à le piquer, exemple : ...Mais aussi, il est plaisant de vous entendre parler d"inaudible", vous qui ne répondez jamais à vos contradicteurs, en tout cas pas quand ils sont de bas étage, comme moi... Heureusement tout le monde, y compris au Monde, n'est pas comme vous. J'en connais beaucoup, et des plus titrés, à Libé par exemple, qui sont moins hautains, moins schneidermanns.

J'avais fini par me résigner et ne plus lui écrire, sauf qu'un jour, v'là-ti pas qu'il arrive à Libé, et qu'Emmanuel Poncet en fait un portrait :

// Il envoie cinq ou six essais de chroniques à son idole Viansson-Ponté qui lui répond à chaque fois, sans les publier. «Depuis ce jour, je réponds personnellement à chaque lettre ou mail qu'on m'envoie.» (...) L'écrivain et chroniqueur Nicolas Rey confirme cette courtoisie épistolaire : «En 1993, je lui ai envoyé des textes. C'est le seul à m'avoir répondu. //

Courtoisie épistolaire ! Caramba ! Enfer et putréfaction ! Mon clavier ne fait qu'un tour, et illico je raconte à Poncet mes démêlés épistolaires avec le Grand Donneur de Leçons. Qui, lui, répond, et me fait comprendre un rien rieur qu'il n'avait pas été dupe du personnage. Ne vous étonnez donc pas qu'après, chaque fois que l'occasion s'est présentée sur les forums, je l'ai appelé Daniel Fauderche... et qu'il le sait.

PS En commentaire, copie d'un mel expédié au webmestre censureur d'ASI.*

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Commentaires
V
Salut Al Ceste,<br /> <br /> Vous avez de la chance que la modération d'ASI vous prie de « revenir sur nos forums, après ce temps de réflexion, avec un discours plus serein et plus apaisé » !<br /> <br /> Pour ma part, je suis banni des forums depuis plusieurs années, sans aucun espoir de retour. Je suis banni à vie. Le comble, c'est que je reste abonné et que ça ne lui pose aucun problème de prendre mes sous. Essayez de demander aux anciens forumeurs d'ASI la raison de mon bannissement, ils seront bien en peine de vous le dire, d'autant que des fumiers qui publient des commentaires antisémites ou racistes, eux, ne sont pas bannis. En fait, la vraie raison, c'est que j'ai mis Schneidermann face à ses contradictions (par exemple quand il donne des leçons aux militants alors qu'il n'a jamais participé à une action collective) et qu'il ne le supporte pas.<br /> <br /> Bien à vous<br /> <br /> Varlin
A
Commentaire pertinent trouvé sur ASI (Restera-t-il ? Sautera-t-il ?)<br /> <br /> <br /> <br /> En réalité, ce ne sont pas les hors-sujets qui dérangent les censeurs zélés.<br /> <br /> Si c'était le cas, tous les messages s'écartant du sujet imposé seraient, sur tous les forums, systématiquement cisaillés.<br /> <br /> Non, ce qui les emmerde c'est qu'on pointe leur incompétence, leur manière hautement fantaisiste d'assurer la modération. Et également leur impolitesse.<br /> <br /> Lorsqu'on les interroge sur les raisons de la disparition de certains posts, ils ne prennent même pas la peine de répondre.<br /> <br /> D'une part, parce qu'ils sont infoutus d'avancer une raison valable.<br /> <br /> D'autre part, parce que les @sinautes sont pour eux quantité négligeable.
A
Ainsi donc des gens vous ont alerté parce que je mettais des liens. Qu'ils l'aient fait si je les avais harcelé comme, un nom au hasard, Monsieur Lemar, bravo, et d'ailleurs vous nous y invitez. Mais pour un petit lien de rien qui ne les visait en rien... <br /> <br /> <br /> <br /> Cela m'a rappelé mon jeune temps quand j'étais pion. Que je voyais arriver des mouchards venus dénoncer un copain ayant fumé dans les vécés ou dit des « gros mots » mais pas sur eux. Je leur disais d'aller me chercher le criminel, qu'ils m'amenaient tous joyeux. Et là, je lui donnais cent lignes. Il pleurait, sous le regard satisfait de mon auto-proclamé adjoint du shérif. Puis je me tournais vers le cafard et lui disais : "Je n'ai pas besoin de toi pour faire mon travail, et tu ne vaux pas mieux que lui. Donc, je lui reprends cinquante lignes, et je te les donnes". Ces mini-salauds n'y revenaient pas deux fois. <br /> <br /> <br /> <br /> Puis je suis devenu prof, et ai eu à régler des problèmes de moqueries graves et de racket. Et donc, à lutter contre l'omerta. Je disais alors ceci aux élèves : si on vous touche ou si on touche un autre élève et que vous le dites, vous êtes courageux ; si vous ne le dites pas, vous êtes des lâches. Si c'est pour me dire qu'untel a fumé en cachette, ne venez pas vous frotter à moi. <br /> <br /> <br /> <br /> Je ne crois pas que vous auriez fait un bon surveillant, ni un bon prof...
Al Ceste un jour sur trois (ou quatre) !
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