Gaaarde... à ouuu !
Pauvre mini caudillo.
Quand il est arrivé à Matignon et à ses fins intermédiaires (l'objectif du gars-qui-n'en-veut étant alors : 2017, sinon rien), on allait voir ce qu'on allait voir, tatatam, il tiendrait son gouvernement, pas comme cette lopette de Jean-Marcounet affligé d'une bonne femme prof de collège en province et pire, en banlieue de province (se souvenir de la façon dont la gratteuse de crincrin à SuperManu s'était essuyé les talons hauts sur une personne qui – je l'ai croisée à plusieurs reprises – a une autre classe que cette péronnelle fate).
Je serais Ayrault je lui chanterais d'une douce voix en conseil des ministres : Ma...cron-Sa...pin-Ma...cron-Sa...pin-Ma...cron-Sa...pin...
Monsieur 5%, qui n'a jamais fait un vrai travail de sa vie, est arrivé à Matignon avec le projet de démissionner en temps et heure pour se présenter en 2017 comme solution à Fromage Mou fondu dans les sondages. Hélas pour lui, il ne peut que démissionner sur un échec personnel - même pas cap de faire plier la CGT, de tenir ses ministres et surtout, surtout, il y a Emmanuel Rastignac... Si celui-ci ne fait pas trop de couenneries genre costard et millionnaire, il grillera le roquet sur la ligne.
Monsieur En-colère-dès-le-lever se réclame de Rocard. Je ne comprendrai jamais comment un homme qui, quoi qu'on en pense, a toujours accordé plus d'importance à ses idées qu'à sa carrière, a pu avoir une telle descendance : Valls, Huchon, Sapin, Cazeneuve (si, si), Blanc etc.