Aujourd'hui, un jeu !
Le loup est le mari de la loupe
Observez : le mot 1 (loup) donne le mot 2 (loupe) par ajout d’un seul phonème : [lu] >[lup]. Seul compte le son, la graphie du deuxième mot pourra être très différente. Ex : le tort est le mari de la torche : [tɔr] > [tɔrʃ]
Bien évidemment, le mariage est absurde. Mais en poésie, on fait comme on veut, nanméoh !
(Pas de mots de la même famille : ainsi, le palet ne saurait être le mari de la palette, la balle ne sera pas la femme du ballon !)
La colonne vide, c’est pour que vous en inventiez à votre tour.
Le porc est le mari de la |
porte |
Le cou est le mari de la |
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Le dais est le mari de la |
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Le mou est le mari de la |
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Le tort est le mari de la |
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Le banc est le mari de la |
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Le bond est le mari de la |
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Le car est le mari de la |
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(piège !) Le mort est le mari de l’ |
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Jean est le mari de la |
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La moule est la femme du moulin
La pale est la femme du palais |
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La poire est la femme du |
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La butte est la femme du |
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* La chope est la femme de |
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La balle est la femme du |
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La boule est la femme du |
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* La miche est la femme de |
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La pompe est la femme du |
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La sole est la femme du |
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* La botte est la femme du |
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* Une aide : ce sont des noms propres.
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